ÉPISODE 48 – Trader programmatique, Adilson Correia Mendes

Épisode 48 : Adilson Correia Mendes, Trader programmatique chez Havas.

Dans cet épisode, nous avons le plaisir de recevoir Adilson Correia Mendes, Trader programmatique chez Havas Programmatic Hub. Il nous raconte aujourd’hui son parcours, comment il en est arrivé jusqu’ici, et quel sont les points forts de son travail.

Merci à Adilson, pour sa participation et nous espérons que l’écoute vous plaira ! Si vous aimez l’épisode, mettez-nous 5 petites ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ pour nous encourager.

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Ça nous permet, via des plateformes, d’acheter des inventaires publicitaires qui peuvent être sur des sites, à la télévision, la télévision connectée… Et en gros, il faut le concevoir comme sur le marché de l’art où il y a des ventes aux enchère

Adilson Correia Mendes

La retranscription de l’épisode 48 :

Majdeline
Bonjour Adilson,

Adilson
Bonjour Majdeline.

Majdeline
Merci Adilson d’avoir accepté l’invitation du Gagne-Pain. Tu es Programmatique Trader chez Havas, plus particulièrement Havas programmatic Hub. On va avoir l’occasion d’y revenir en détail. Mais avant cela, est ce que tu peux te présenter en quelques mots ?

Adilson
Alors moi j’ai 31 ans, je suis originaire de la région parisienne. J’ai fait mon bac dans un lycée privé du 18e arrondissement en 2010. Ensuite, j’ai enchaîné avec la fac, mais j’ai abandonné parce que ça me plaisait pas. Je me suis réorienté en classe préparatoire pendant trois ans, ce qui m’a été bénéfique humainement surtout. Et ensuite, j’ai terminé sur une école de commerce à l’ISC Paris qui fait partie du réseau des grandes écoles de commerce où j’ai eu une spécialisation en marketing digital.

Majdeline
Ok, super. Est ce que tu peux nous présenter ton parcours professionnel ?

Adilson
Alors moi pendant mes études, j’ai eu plein de petits jobs pour subvenir à mes besoins, street marketeur, ce genre de choses. Et ma véritable première expérience professionnelle, c’était au sein de la banque BNP Paribas en stage de six mois. C’était un stage de césure où j’ai pu vraiment comprendre comment marchait une grande entreprise. La culture d’entreprise, ce genre de choses, comment se comporter et tout ce qui va avec. Ensuite, j’ai eu une expérience un peu plus enrichissante en partant à l’étranger en Argentine où j’étais en stage toujours, mais c’était plus histoire de découvrir une autre culture. Et c’était dans une agence créa, dans une petite startup argentine la seconde ville du pays. Et ensuite j’ai eu mon stage de fin d’études suite à ma spécialisation en école de commerce au sein d’une startup qui s’appelle Klox Entertainment et où j’ai commencé à développer les compétences dont je me sers à l’heure actuelle.

Majdeline
Ça marche. On l’évoquait en début d’épisode. Tu travailles aujourd’hui chez Havas. Est ce que tu peux nous présenter cette entreprise ?

Adilson
Alors Havas, c’est une des grandes agences de communication en France. C’est une agence française. Elle est située à Puteaux, à la lisière de la frontière parisienne et elle dispose de plein d’entités qui ont tous leur spécialité la créa, le social et moi, j’ai été recruté dans l’entité qui gère l’achat programmatique qui s’appelle Havas Programmatic Hub, et cela depuis trois ans.

Majdeline
Qu’est ce qu’un achat programmatique ?

Adilson
Alors, l’achat programmatique, en fait, c’est une technologie, c’est le programmatique, comme on l’appelle ça communément. Et en gros, ça nous permet, via des plateformes, d’acheter des inventaires publicitaires qui peuvent être sur des sites, à la télévision, la télévision connectée… Et en gros, il faut le concevoir comme sur le marché de l’art où il y a des ventes aux enchères. C’est celui qui enchérit le plus, qui remporte l’impression publicitaire, par rapport à un autre annonceur ou une autre trader qui va enchérir pour un autre annonceur.

Majdeline
Ok, c’est clair. C’est vrai que Programmatique Trader, c’est un métier assez atypique. C’est quoi concrètement, ton activité et tes missions quotidiennes ?

Adilson
Alors moi, pour faire simple, je conduis, pour un annonceur, un client particulier, des campagnes publicitaires, mais spécifiquement sur les digital. C’est à dire sur les canaux de communication online où l’internaute, le téléspectateur ou l’auditeur a besoin d’internet pour consommer du contenu. Donc je fais de l’achat publicitaire au nom du client sur ces canaux. Ça peut être des campagnes avec différents types d’objectifs, de la notoriété pour la marque ou un produit, vendre un produit, rediriger vers le site du client ou inciter les gens à se rendre en magasin. Donc, pour résumer, mes missions se résument par la mise en place d’une stratégie digitale via un plan média. Le paramétrage de la campagne techniquement sur des plateformes d’achat programmatique. La réalisation d’un rapport intermédiaire ou d’un bilan pour justifier les résultats auprès du client.

Majdeline
Alors pour ceux qui nous écoutent et qui potentiellement aimeraient faire ce job, quelles sont les trois principales compétences requises pour ce job ?

Adilson
Je pense que ce qu’il faut pour ce job surtout de l’organisation et de la rigueur. Bon, comme pour tous les jobs, je dirais. Deux, le goût du digital, de la culture web et des médias en général. Et trois, la curiosité et l’esprit d’aventure. Parce que c’est un métier qui évolue forcément avec l’actualité du digital et il faut vraiment se tenir au courant de certaines choses.

Majdeline
Ok, être ouvert d’esprit. Attention, la question gagne pain combien ça gagne un programmatique trader ?

Adilson
Alors ça dépendra forcément du type d’agence où on se trouve, du type de trading desk. Mais pour un junior, ça oscille entre 30 et 35K€ brut annuel et pour un senior entre 38 et 44K€.

Majdeline
Ok, tu as parlé de trading desk. Qu’est ce que c’est ?

Adilson
Un trading desk, en fait c’est communément le nom qu’on assigne aux entreprises qui sont spécialisées dans l’achat programmatique. En fait, Havas, c’est une agence de communication globale, qui opère aussi bien des campagnes de publicité classique traditionnelle, l’affichage sur dans la rue par exemple, ce genre de choses. Havas a à sa disposition un trading desk qui est Havas programmatic Hub.

Majdeline
D’accord.

Adilson
C’est juste la subtilité, mais généralement on peut aussi bien parler d’agence, de trading desk. Mais trading desk c’est vraiment dédié à l’achat programmatique, de manière générale.

Majdeline
Adilson Forcément, dans tout métier, on a des tâches qui nous plaisent plus et d’autres qui nous plaisent moins. Chez toi, qu’est ce que c’est ?

Adilson
Alors moi, la tâche qui me plait le plus, c’est de mettre en valeur ce que j’ai fait aux yeux du client. Donc ça passe par ce qu’on appelle le rapport intermédiaire et les bilans où en gros, je vais présenter les résultats de la campagne aux clients. Et c’est un élément que j’aime bien parce que c’est là où tu te rends compte de ce que tu as pu apporter au cours du lancement, de la gestion de la campagne sur le long terme. Et il n’y a pas meilleur personne pour parler de ce qu’on fait que soi même. Donc, à ce niveau là, c’est vraiment quelque chose que j’apprécie. Et ce qui me plait nettement moins, les problèmes techniques qu’on peut rencontrer sur les campagnes qu’on lance. En fait une campagne, pour tout un tas de raisons, peut ne être pas diffusée. Et en fait, ça nécessite un temps d’investigation sur les plateformes avec des supports et tout ça peut prendre beaucoup de temps. Et c’est vraiment ça peut vraiment être fastidieux en terme de charge de travail, surtout si on n’a jamais rencontré ce problèmes dans lors des précédentes campagnes. Donc ça c’est une tâche qui est assez pénible.

Majdeline
Mais qui te permet de découvrir d’autres aspects de ton métier ?

Adilson
Exactement, qui permet aussi de mieux rebondir par la suite et l’expliquer aussi bien à d’autres collègues trader qui n’auraient jamais été confrontés à ce type de problème.

Majdeline
Ok, c’est clair. Est ce qu’il y a une journée type en tant que trader programmatique ?

Adilson
Alors oui, généralement il y a une journée type. Moi j’aime la commencer comme ça. Je vais commencer par faire une veille digitale pour m’informer de l’actualité en général sur surtout les leviers digitaux, même le social, des choses qui me concernent pas forcément. Généralement, le matin, on a aussi des réunions, que ce soit interne ou externe, avec des partenaires. On a la gestion des campagnes à réaliser, donc des optimisations à mettre en place en fonction des objectifs de la campagne. De reporting a envoyer si nécessaire. Mais cela peut être plus ponctuel. Généralement des déjeuners avec les partenaires parce qu’on a des partenaires privilégiés sur ce type de métiers, que ce soit les régies publicitaires, les partenaires, plateformes technologiques aussi. Il y a également l’après midi le paramétrage de nouvelles campagnes à mettre en place. Ou la mise en place d’un nouveau plan média, d’une stratégie digitale à développer pour une future campagne. Et voilà. Mais généralement, les journées ne se ressemblent pas forcément en fonction des circonstances de l’environnement du trader. Généralement, un trader peut avoir un compte ou plusieurs comptes et il va organiser ses journées en fonction.

Majdeline
D’accord, donc ça varie énormément en fonction de l’environnement ?

Adilson
Exactement

Majdeline
Adilson, quel est le plus grand défi que tu as relevé en arrivant dans ce métier ?

Adilson
Pour moi, a mon poste actuel, le plus grand défi qui été donné, c’était de gérer la présentation d’un bilan de campagne auprès d’un annonceur qui est à l’étranger. Donc la particularité, c’est que cette nécessité de parler en anglais et surtout que c’était l’une des premières fois que je faisais une présentation client de manière générale. Donc ça c’est assez cool parce que je l’ai voulu. Mon manager était hésitant à l’époque, mais moi je lui ai dit pas de soucis, faudrait bien que j’apprenne un jour ou l’autre. Et puis c’était une bonne occasion et ça m’a permis par la suite de recontextualiser ce que je faisais au quotidien, de le valoriser aussi. Donc je pense que c’était un beau déclic.

Majdeline
Adilson, la communauté du gagne pain nous interroge régulièrement sur l’utilisation de l’anglais dans le travail. Est ce que dans ton métier c’est utile d’avoir un anglais professionnel ?

Adilson
Alors moi, à titre personnel, dans mes expériences, j’utilise l’anglais surtout pour discuter avec les plateformes. Les plateformes techniques, généralement sont Les supports sont gérés par des personnes qui se situent à l’étranger pour communiquer avec eux, résoudre des problèmes. J’utilise cette langue là. Après, il se peut qu’avec les clients, comme je l’ai dit précédemment, je sois amené à parler anglais. Mais jusqu’à maintenant, j’ai pas vraiment de clients qui se situent à l’étranger. Je suis vraiment centré sur la France, mais vraiment l’anglais sur ce type de métier, ça dépendra forcément de si tu as un annonceur qui situe à l’étranger ou qui utilise tout simplement cette langue dans ses relations professionnelles. Donc c’est surtout à ce niveau là que je dirais que l’anglais sera forcément utile. Mais ça dépend forcément des circonstances. Dans le sens où quelqu’un qui est à l’opérationnel, un Media Trader, c’est vraiment des tâches opérationnelles. En fonction de l’agence ou il se trouve il y à un degré de contact client qui varie. Donc c’est en fonction du poste et de l’agence où l’on situe.

Majdeline
Dans l’épisode 26, on a reçu un Media Trader. Quelle est la différence entre un Media Trader et un programmatique Trader ?

Adilson
Il y en a pas. C’est la même chose que programmatique trader. Tu saura tout de suite que c’est quelqu’un qui achète via les technologies programmatiques, media Trader, ça peut tout aussi bien s’employer. Je dirais que Media Trader c’est juste pour valoriser l’aspect ou t’achète vraiment. Ce n’est même pas une vérité générale, mais tu vas acheter sur tel média qui est plus valorisant. Mais les deux sont des synonymes. En soit, il n’y a pas vraiment de différence.

Majdeline
Donc l’aspect programmatique en fait ?

Adilson
Je pense que Media Trader, tu pourrais l’employer également pour parler de quelqu’un qui gère des campagnes, mais sur le social. On peut aussi employer. Moi j’étais Media Trader, par exemple chez Klox Entertainment. J’avais vraiment le titre de Media Trader. Je gérais des campagnes sociales en programmatique sur l’écosystème web digital très très large. Et je faisais aussi de ce qu’on appelle des campagnes perfs, via des mots clés sur Google. C’est les campagnes, les annonces qu’on voit sur Google, et ça aussi, ça, ça peut rentrer dans ce dans cette dénomination là.

Majdeline
Donc la différence est vraiment minime ?

Adilson
Il y en a même pas en vérité.

Majdeline
Ok.

Adilson
Je pense que le Programmatique Trader accentuera le côté expertise programmatique. C’est simplement ça.

Majdeline
Est ce qu’il y a des bonnes formations pour faire ce métier ?

Adilson
Ben en fait, ce métier, il n’y a pas forcément de formation qui se prépare à ce type de métier, parce ce métier demande de gérer des budgets, de les dépense au nom d’un client pour tel ou tel objectif de campagne, pour telle ou telle marque, tel ou tel produit à mettre en avant. Donc c’est forcément quelque chose que tu découvres en entreprise. Après, il y a des formations qui sont dispensées un peu partout, qui préparent à la compréhension du digital de manière globale, à comment ça fonctionne. Que ce soit en faculté, en école de commerce, en école de communication, tu as toujours des des spécialisations qui germent et sont labellisées marketing, digital, culture web et digital. C’est c’est une bonne base. Et après il y a des écoles un peu plus spécialisées qui se développent j’ai l’impression depuis depuis pas mal de temps, ce genre de choses. Je pense notamment à l’école digitale Oreegami où j’ai pas mal de collègues qui sont passés par ce type de formation. Mais pour le coup, c’est vraiment un métier qui s’apprend en entreprise.

Majdeline
Est ce que toi tu continues à te former régulièrement ?

Adilson
Moi avec havas, j’ai la chance d’être tenu au courant de ce qui se passe sur l’actualité digitale de via les veilles que je fais notamment. On a toujours des newsletters et tout pour s’enrichir à ce niveau là. Moi, à titre personnel, je continue à me former mais plus sur les langues, mais vraiment à titre personnel.

Majdeline
OK. Est ce qu’il y a des certifications professionnelles utiles pour faire le métier de Programmatique Trader ?

Adilson
C’est une bonne question parce que oui, effectivement, il y en a sur les plateformes qu’on utilise. On a des outils, des technologies à acheter sur les campagnes, enfin les affichages publicitaires. Et il y a une variété de plateformes qui sont mises à notre disposition et ils nous font tous passer à leur rythme à une étape de certification. Ce qui est bénéfique à plus d’un à plus d’un titre. C’est déjà aux yeux du client ca certifie qu’on est expert par rapport à tel ou tel type de plateforme et que nous on puisse le valoriser à titre personnel sur notre CV. D’ailleurs, généralement, on a la possibilité de l’indexer sur LinkedIn pour pour tout simplement améliorer notre visibilité et montrer cette compétence là.

Majdeline
Adilson, est ce qu’il y a une différence entre le métier de Programmatic Trader et ce que tu imaginais avant de le faire au quotidien ?

Adilson
Ben moi je n’ai pas été forcément étonné parce que ce métier m’a été présenté lors de mes cours en soit, mais j’ai plus été surpris. Oui, quand j’ai changé d’entreprise, quand je suis passé de Klox à Havas en fait, parce que c’est des réalités qui sont totalement différentes. Havas c’est un grand groupe, on a des partenaires privilégiés, on a pas mal de choses qui sont mis à notre disposition pour opérer ce qu’on fait, gérer des campagnes. Donc ça permet de développer des compétences plus poussées et variées. Et en soit, on jongle avec des budgets qui sont un peu plus conséquents, donc ça nous offre pas mal de possibilités en termes de faisabilité de certaines choses, de variété de missions.

Majdeline
Est ce que tu as des conseils pour ceux qui nous écoutent et qui souhaiteraient se lancer dans ce métier ?

Adilson
Ben moi le principal conseil c’est d’aiguiser son goût du Digital d’en apprendre vraiment, tous les jours à un rythme régulier pour se tenir au courant de l’actualité. Ça permet de valoriser son discours dans ce métier là. Et puis de recontextualiser ce qu’on fait. Parce que avec ce type de métier très opérationnel et que l’on débarque en tant que junior, c’est vraiment opérer des campagnes pour opérer des campagnes. Derrière on le valorise pas, on se rend pas compte de l’impact que ça peut avoir. Et je trouve que c’est cool de le prendre dans ce sens là. Et mine de rien, c’est un métier qui nous apprend beaucoup sur la population française en général, comment elle consomme des contenus. Il y a vraiment une valeur sociologique je dirais, et c’est toujours intéressant, mais en tout cas ça me passionne.

Majdeline
Donc vraiment avoir un esprit ouvert à l’environnement et apprendre en entreprise finalement ?

Adilson
Exactement. Je dirais que c’est comme dans tout type de métier, mais encore plus sur celui là, vu que c’est un secteur qui évolue beaucoup.

Majdeline
Est ce que tu pourrais nous conseiller des films, des séries, livres, podcasts en rapport avec ton métier ?

Adilson
Ben malheureusement c’est un nouveau métier. Je pense pas qu’il y ait une littérature hyper développée sur sur ce métier là. Moi le seul film qui me vient à l’idée, c’est Mad Men , C’est parce que j’aime beaucoup les séries, ça parle du milieu de la publicité, mais en tout cas, en terme de podcast ce que je conseille, c’est Programmatic Society . Généralement c’est disponible sur YouTube et sur les agrégateurs de contenus audio type Spotify, Deezer. Donc pour le coup s’est assez bien produit. Et puis on explique pas mal de choses sur l’univers du programmatique, du digital de manière plus globale, que ce soit dans le monde des agences et sur tout type de sujets, que ce soit la diversité dans les agences, ce genre de choses. Donc ça c’est cool.

Majdeline
Ok, on ajoutera le lien dans les notes du podcast. Pour conclure, est ce que tu souhaites ajouter quelque chose ?

Adilson
Alors je dirais que si le digital vous plait, ce métier est une belle porte d’entrée dans cet univers et derrière cela, ça peut vous ouvrir la porte à d’autres postes. Que ce soit dans la même entreprise ou dans des entreprises partenaires avec lesquels vous serez amenés à collaborer.

Majdeline
Quelles évolutions envisages tu pour la suite ?

Adilson
Bah moi je me sens très très bien chez Havas. Je considère que j’ai encore des choses à apprendre. Mais j’envisage aussi de retourner dans le secteur dont je parlais, la musique. C’est vraiment quelque chose qui me passionne beaucoup mais toujours sur sur le type de métier que je fais qui est en relation avec le digital.

Majdeline
D’accord, et bien si on te souhaite en tout cas le meilleur pour la suite. Merci !

Adilson
Merci. À bientôt.

L’épisode 48 du Gagne-Pain, métier « Trader Programmatique », est également disponible sur :