page title icon ÉPISODE 11 – Chef de projet E-commerce, Alexandre Abecassis

Épisode 11 : Alexandre Abecassis, chef de projet E-commerce free-lance.

Dans ce 11ème épisode, nous recevons Alexandre Abecassis, chef de projet E-commerce free-lance pour une interview originale et vivante afin de découvrir les aspects de son métier d’indépendant.

Merci à Alexandre pour sa participation et nous espérons que l’écoute vous plaira ! Si vous aimez l’épisode, mettez-nous 5 petites ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ pour nous encourager.

Vous travaillez dans le digital et vous souhaitez faire connaître votre métier, partagez votre expérience ? 

N’hésitez pas à nous contacter pour nous proposer votre profil pour une prochaine interview en nous contactant via l’adresse legagnepain @gmail.com

Notes du podcast et liens utiles :

Notre invité : Alexandre Abecassis – Profil Linkedin

Interview faite par : Majdeline Souhnoun – Profil LinkedIn

La retranscription de l’épisode 11 :

Majdeline
Bonjour et bienvenue sur Gagne-Pain, nous recevons aujourd’hui Alexandre, chef de projet e-commerce. Bonjour Alexandre.

Alexandre
Bonjour

Majdeline
Merci d’avoir accepté notre invitation. Alors, Alexandre, est ce que tu peux te décrire en quelques mots?

Alexandre
Yes! Alors je m’appelle Alexandre, j’ai 28 ans, je suis de Rueil-Malmaison, donc petite ville en region parisienne. J’ai fait mes études là bas, mon lycée là bas. Ensuite, j’ai fait une école de commerce à Paris. Et aujourd’hui, je suis donc chef de projet et e-commerce.

Alexandre
Alors, à la suite de mon école, après mon alternance, je suis parti. Il y avait une opportunité qui me plaisait pas et j’ai décliné. En fait, on m’a rappelé quelques mois plus tard dans la même structure pour me proposer un poste en CDD, donc en gestion de projet.

Majdeline
Et aujourd’hui, tu en es ou par rapport à tes expériences et par rapport à ton parcours ?

Alexandre
Après cette expérience là, à peu près un ans en gestion de projet, en gestion de projet pure, mais pas forcément dans le milieu du e-commerce ou du digital. Je suis arrivé dans une entreprise qui n’avait rien à voir avec celle où j’étais avant. Avant, j’étais dans un très grand groupe. Je suis arrivé dans une start-up où là, j’avais un poste de chef de projet mais sur des missions e-commerce. Et j’ai vraiment fait mon expérience et appris sur ce domaine là, pendant ce poste là, je suis resté un peu plus de trois ans dans cette boite où j’étais chef de projet e-commerce. Et puis je suis parti, donc au bout de trois ans. Aujourd’hui, je fais toujours de la gestion de projet commerce, donc sous différents formats. Donc, ça peut être du conseil en gestion de projet, en stratégie, et de la gestion de site. Et ça, je le fais pour l’instant en freelance. Depuis que je suis parti de mon ancienne boite.

Majdeline
Donc tes missions quotidiennes a quoi ça ressemble un peu ta journée type?

Alexandre
Alors en fait, en gestion de projet. Moi, j’aurais tendance à dire qu’il n’y a pas de journée type ou peu de journée type. Parce qu’en fait, on est assez dépendant de ce qui va se passer au quotidien. Moi, dans mon cas, par exemple, je bossais avec un assez grand nombre de clients en parallèle, une dizaine de clients qui fait que, on arrivait le matin et le rôle du chef de projet à ce moment là, c’est de définir les priorités. Donc, on a des projets qui sont plus ou moins urgents que d’autres. On a des équipes qui ne sont pas illimités, donc on va devoir manager les ressources, manager les équipes, gérer les plannings des uns et des autres pour pouvoir faire en sorte que les priorités soit soient faites. Moi dans mon cas, j’avais également dans ma gestion de projet, en plus des missions, qui était très orientée client. J’avais aussi des missions qui étaient orientées plus produits, plus internes à la boite. Et donc, il fallait aussi prioriser en fonction de l’avancement qu’on avait envie d’avoir sur notre produit et celui qu’on se devait d’avoir vis à vis de nos clients.

Majdeline
D’accord, toi, t’es un peu un point relais entre tous les métiers autour du digital. C’est ça ?

Alexandre
c’est exactement ça. Un chef de projet dans une entreprise de manière générale, c’est, un maillon central qui est là, effectivement, pour réunir les besoins et les exprimer aux équipes pour faire la phase de production. En fait, je vous ai donné l’exemple de ce que je faisais dans mon expérience précédente, mais les points communs dans n’importe quel poste de gestion de projet, peu importe le projet, c’est qu’effectivement, il va y avoir une phase de récolte des besoins et souvent une phase de traduction, de passerelle entre les équipes. C’est à dire que là, moi je traduisais les besoins d’un client pour des équipes de développeurs. Mais ça peut être sur d’autres projets, traduire des besoins qu’on appelle métiers, des besoins fonctionnels en besoins techniques pour les développeurs pour construire le projet.

Majdeline
Donc, pour être chef de projet, de manière générale, pas forcément spécialisée dans le e-commerce. Il faut avoir une certaine appétence et une certaine connaissance de tous les métiers du monde digital ?

Alexandre
Exactement. Je pense que c’est un métier qui nécessite d’être ouvert, d’aimer le dialogue avec les autres, avec les autres gens de l’équipe, avec les clients, etc. Et effectivement, d’être curieux sur les différents métiers et de savoir écouter les différents besoins et faire la passerelle entre les différentes équipes. Moi, je pense vraiment que c’est un métier où les compétences humaines ce que l’on appelle Soft Skills. Globalement, sont hyper importantes par rapport aux Hard Skills. C’est à dire les Hard Skills en fait le problème dans un métier comme ça, surtout sur du e-commerce ou du digital, c’est que ça va évoluer en permanence. Donc, en fait, il faut être capable de se former en permanence. Il faut être capable de connaître les nouveaux outils. Vous allez arriver dans une boite, la boite a utiliser un outil que vous n’aurais pas utilisé avant. Il va falloir apprendre à gérer cet outil. Ce sera toujours le cas, peu importe le nombre d’outils que vous connaissez. Donc il faut avoir cette polyvalence. Cette ouverture et ce qui est le plus important. C’est effectivement les compétences humaines, c’est à dire la capacité de communication, d’écoute, mais aussi d’organisation. D’avoir la capacité de voir les problèmes dans leur ensemble et d’en faire quelque chose de compréhensible pour les interlocuteurs qu’on a.

Majdeline
Donc les qualités premières, c’est l’adaptabilité, l’écoute, la compréhension et le relationnel…

Majdeline
Et alors? Attention, la question Gagne-Pain combien ça gagne aujourd’hui un chef de projet e- commercent plus particulièrement, quel est le salaire annuel brut et une fourchette entre un juniors et un senior?

Alexandre
Alors un junior, ça va gagner 35 K brut annuel, quelque chose comme, un un sénior, ça peut gagner entre 45 et 50k on a dire toujours brut annuel. Après, ça va évidemment dépendre de quand vous êtes junior, potentiellement de l’école que vous avez faite et quand vous êtes plus sénior, de l’entreprise tout simplement dans laquelle vous êtes et des expériences que vous avez avant. 45-50 K, je pense que c’est une bonne moyenne. Mais ça peut être plus élevé en fonction des entreprises, en fonction des projets, etc.

Majdeline
OK, super Alexandre. Pourquoi tu as choisi ce métier de chef de projet e-commerce?

Alexandre
Comme je le disais par rapport à ma formation, je me suis orienté d’abord sur du marketing et je suis arrivé après sur la gestion de projet par opportunité. Et en fait, ce qui me plaisait, c’est ce qui est lié aux qualités que j’ai dit tout à l’heure. C’est que c’est un métier où on touche à beaucoup de choses. Non seulement on touche à plein de métiers différents. Avec les développeurs, les designers, etc. Moi, je faisais des missions où je devais avoir des recommandations, à la fois en termes de dev, mais aussi en termes de design, d’UX de manière très générale. J’apporte aussi des recommandations stratégiques à mes clients. Donc voilà, ça touche à beaucoup de sujets. Et en fait, c’est toujours un plaisir d’être dans l’échange, ce point centrale, dans la boite, et c’est vraiment ces qualités là qui me plaisaient. Et en plus de ça, dans cette diversité, moi, j’avais l’opportunité de travailler avec plein de clients différents. Qui dit plein de clients, dit plein de projets, qui parfois sont hyper intéressants, parfois moins. Mais du coup, on voit beaucoup de choses différentes.

Majdeline
Quelle est la tâche qui te plaît le plus et celle qui te plait le moins?

Alexandre
Alors, celle qui me plaît le plus, je pense que c’est la partie, ou on définit en fait les besoins avec le client. Parce que c’est aussi une partie où on peut faire part de son expertise. Comme je le disais tout à l’heure, j’ai travaillé avec pas mal de clients différents et ça permet d’avoir une bonne vision d’ensemble. Ce qui fait que quand un client vient nous voir en disant mon besoin, c’est ça. Ça permet de lui répondre et lui dire OK, je vois où tu veux en venir, je vois ce que tu veux faire, mais à ta place, je le ferais peut être plutôt comme ici, ou plutôt comme ça. Ça donne lieu à des moments d’échanges avec le client. Et en fait, on se projette assez vite dans des projets qui ne sont pas forcément les nôtres, mais du coup, auxquels on s’identifie parfois. Et ça, c’est hyper intéressant et parfois, on a des très bons échanges avec les clients. Sur le moins marrant on va dire, la partie très organisationnelle de gestion de planning où il faut, quand même aimer être bien carré, bien structuré et bien organisé, modifié en permanence pour bien gérer les priorités. Ca, ce n’est pas forcément la partie la plus marrant. Je pense que ça peut plaire à certains.

Majdeline
Il faut se former régulièrement pour eux pour garder le cap en tant que chef de projet commerce?

Alexandre
Alors, je pense que le plus important, c’est de rester à l’écoute, en fait, de ce qu’on voit autour de nous. L’avantage, c’est que comme je travaille avec pas mal de clients différents, je voyais un peu ce qui se passait aussi et je regardais un peu ce qui se passait sur le marché. Mais oui, il faut être capable de savoir que, par exemple, sur les plateformes e-commerce, lesquelles sont utilisées les plus en ce moment. Quels outils peuvent être importants ou intéressants pour le client pour l’aider dans ses missions ? Quel est le mode de vente ou quel type d’offre « ont la cote » sur le marché ? Qu’est ce qui se fait ailleurs, en fait, pour conseiller les clients et les orienter comme il faut et mener à bien le projet?

Majdeline
Donc, il faut vraiment se tenir au courant par le travail, par les clients et par l’actualité mais est ce qu’en dehors de tout ça, il y a des formations concrètes que toi, tu as faites ou des certifications?

Alexandre
Alors il y a des formations, des certifications. Moi je pense pas qu’il y ait besoin de formation en école très spécifique. Mais par contre, des certifications, il y en a que vous pouvez trouver en ligne. Et là, ça va être sur des choses très basiques dans le e-commerce, qui sont savoir ce que c’est Google Analytics et savoir ce que c’est Google AdWords. Connaître les différents outils par foyer a besoin de se former dessus. Les plateformes de commerce, j’en parlais tout à l’heure, ce qu’on appelle les CMS, donc PrestaShop, WordPress, Shopify, les choses comme ça. En fait parfois, ça demande effectivement des formations. Et sur la partie gestion de projet pure, il faut savoir qu’on est en terme de compétences techniques, d’outils qu’on utilise. Ils peuvent énormément varier d’une entreprise à l’autre et ils sont pas forcément figés, très structurés. Ça dépend des entreprises. Par contre, il y a des méthodes qui sont très connues et qui doivent vous parler à ce moment là. C’est les choses comme les méthodes agiles qu’on entend beaucoup en ce moment là, le Kanban, le Scrum, les choses comme ça. Toutes les différentes méthodes de gestion de projet. Faut au moins que ça vous parle, que vous sachiez plus ou moins ce que c’est. Je vous dis pas que vous allez l’utiliser pile poil, comme c’est écrit dans l’information au quotidien. Mais clairement, ça vous aidera. Et après, comme je disais tout à l’heure sur la gestion de projet, surtout en Web e-commerce, digital, vous êtes souvent amené à travailler des développeurs. Donc, il faut avoir une base et pas besoin de plus. On vous demande pas de développer une action.

Majdeline
Une introduction?

Alexandre
Voilà exactement à des sujets de voir tout ce qui concerne HTML, Java, CSS. Savoir de près ou de loin ce que c’est. Parce que quand les développeurs vont vous parler de ça, faut pas que ça soit du chinois pour vous.

Majdeline
Est-ce que tu utilise l’anglais dans ton travail?

Alexandre
Alors moi, j’ai utilisé l’anglais assez rarement dans un premier temps, parce que c’était les entreprises qui venaient nous voir était majoritairement sur le marché français. Donc parfois, on avait besoin de l’anglais, souvent l’anglais écrit dans un premier temps pour les pour les entreprises qui avaient besoin de vendre à l’étranger. Et ensuite dans un second temps je travaillais sur la partie produits dont je parlais tout à l’heure où je travaillais avec une équipe de développeurs à l’étrangers, on travaillait en anglais. Mon avis sur la question, c’est que ça va vraiment dépendre de la boite avec laquelle vous travaillez. Souvent, si la boite, elle est sur le marché national français, ce n’est pas forcément indispensable. Dès que la boite va vouloir s’internationaliser, dès qu’elle va avoir des clients qui vendent à l’étranger. Oui, il va falloir avoir un certain niveau d’anglais. Souvent, il s’agit pas d’être bilingue, mais au moins d’être capable d’échanger avec des clients en anglais, par écrit, par oral.

Majdeline
Et est ce que c’est un métier qu’on peut faire à distance, ce qu’on est obligé d’être en présentiel? C’est un sujet vraiment d’actualité aujourd’hui. Les étudiants, les jeunes diplômés se posent la question. Est ce qu’il faut rester en France? Est ce qu’on peut travailler d’étranger? Toi, t’en penses quoi? Et est ce que ce métier se porte à ce type de travail?

Alexandre
Oui, bien sûr. Je pense que c’est un métier effectivement qui s’y prête assez bien, qui se prête assez bien au télétravail. Tout simplement parce que les outils peuvent être tous en ligne, que vous avez le téléphone ou avez la visio pour contacter les clients pour contacter les équipes. C’est possible, moi, à vrai dire, avant qu’il y est la situation Covid, en fait, on avait à peu près un tiers de notre team qui était en remote l’intégralité du temps, les développeurs notamment. Donc oui, ça se passe très bien. Après moi, j’ai tendance à dire, mais ça c’est plus une question d’organisation et de stratégie de la boite. On est un point central. On a besoin de fonctionner en équipe et pour ça le full télétravail, c’est parfois compliqué. Et si on peut mettre une tête de temps en temps au bureau pour avoir le dialogue en direct, la réunion, c’est quand même bien. Mais voilà, les trois quarts du temps, ça peut quand même se faire en travail.

Majdeline
Alors Alexandre, question qui n’a qui n’a rien à voir avec tout ce qu’on vient de se dire. Mais voilà, j’ai remarqué que tu étais très sportif. Est ce que pour toi, il y a un lien entre l’équilibre professionnel et et l’équilibre personnel, notamment dans le sport? Est ce que c’est important pour toi?

Alexandre
C’est hyper important pour moi. C’est comme je disais, c’est comme c’est un poste, le poste de chef de projet assez central on doit s’adapter, c’est un poste qui peut être générateur de stress. Voilà et moi, clairement oui, le sport, c’est un moyen de se décharger, de défouler, de penser à autre chose qui me fait beaucoup de bien. Et je pense que c’est hyper important, surtout maintenant quand on a du télétravail un peu plus généralisé. Et comme je viens de le dire, qui peut être OK pour ce genre de métier. C’est hyper important, selon moi, de garder une activité physique régulière, de pouvoir se dépenser. Après chacun fait ce qu’il aime. On va dire moi, j’adore le sport, mais si vous vous êtes OK avec l’idée de juste aller faire de la marche et peut être que c’est autre chose qui va vous permettre de penser à autre chose. Je ne sais pas de la musique, de la peinture ou je ne sais quoi. Ça marche aussi, mais j’ai tendance à penser que le travail, c’est au travail, qu’à côté, il faut avoir un passe temps, une passion, quelque chose qui nous qui nous sort un peu du quotidien.

Majdeline
Est ce que tu aurais un conseil à donner à une personne qui souhaite faire ce métier, qui est encore étudiant ou jeune diplômé et qui recherche des conseils? Qu’est ce que tu pourrais lui dire?

Alexandre
Ce n’est pas la formation technique qui est le plus important, c’est ce que vous allez montrer finalement sur le terrain. Donc, il faut accorder de l’importance à un poste de junior à être capable de se plier aux exigences de la boite dans un premier temps. Et pendant cette phase d’apprentissage, d’être hyper à l’écoute, hyper dans l’apprentissage, comme on disait tout à l’heure sur les différents métiers. Vraiment, être curieux de voir ce qui se passe autour de vous et d’accepter de prendre le temps d’apprendre.

Majdeline
OK, merci Alexandre. Pour conclure, est ce que tu as quelque chose à ajouter? Quelle l’évolution, toi, tu envisage pour l’avenir? Qu’est ce qu’on peut te souhaiter?

Alexandre
Alors moi, l’évolution, c’est en fait ce qui est en train de se passer avec avec le Covid. Ce dont a mon avis on va tous avoir besoin, c’est de prendre conscience que la vie et le monde du travail, ce n’est pas une ligne droite. Que on va de plus en plus, on ne fera pas le même métier pendant toute notre vie. Qu’on est amené à changer, même sur un même métier, que ça peut énormément varier en fonction de votre mission, en fonction du type d’entreprise dans laquelle vous allez travailler. Et donc, il faut vraiment accepter « l’inattendu », accepter d’être ouvert. Pour ma part, ça s’est traduit par exemple récemment avec le Covid, etc. Dans le fait que le travail sous d’autres formes, c’est à dire en freelance par exemple, s’est « imposé »à moi alors que c’est quelque chose auquel je pensais pas vraiment jusqu’à peu. En fait, je me rends compte aujourd’hui que c’est possible. Même un monde que je connaissais pas forcément avant. En fait, je me rends compte que c’est possible. Et ça, c’est parce qu’il faut. Comme je disais, il faut se permettre de n’être ouvert et de l’accepter, que ce n’est pas une ligne droite.

Majdeline
Donc c’est une des qualités de ton métier. C’est s’adapter?

Alexandre
Oui, carrément.

Majdeline
OK, merci beaucoup Alexandre, A bientôt. Au Revoir

Alexandre
Avec Plaisir. A bientôt. Au Revoir

L’épisode 11 du Gagne-Pain, métier « Chef de projet E-commerce », est également disponible sur :

le podcast le gagne-pain sur Deezer

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